Artiste plasticien, Thierry Cordier se lance en autodidacte, d’abord dans la sculpture, en travaillant sur les mouvements, la lumière et la légèreté, puis dans la peinture, où l’on retrouve les courbes et les mouvements.
Dans les deux disciplines, le corps est mis en avant dans sa plus simple expression.
La résine grillagée permet d’apporter transparence et ligne aérienne à la sculpture.
Parallèlement sur des grands formats de papier kraft,deux couleurs forment deux positions de corps au hasard des lignes de peintures que procure la technique du dripping.
Construction et déconstruction, qui apparaissent à travers ce travail, sont les différentes étapes de notre univers cyclique. Dans un mouvement uniforme, on avance en couche successive au rythme de la lumière, la matière se disloque, le vide se remplit et inversement.